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22 octobre 2007

Commentaires

F.F.

CHUTTTTTTTTT.......SILENCE ...........
N'engendrez pas les pensées.

claire

Mon avis rejoint assez celui de Karine. Je sépare l'intérêt que je porte à sa musique et ses textes (bien que je ne les comprenne pas toujours) de sa vie privée, dont l'issue qu'on connaît est condamnable et condamnée. Il a certainement profondément souffert de son geste, et il a eu beaucoup de temps pour y penser, il va porter ce poids toute sa vie et sa dette envers la famille de cette femme, parents et enfants, ne sera jamais payée. mais j'aime sa musique...

Myriam

condamner est toujours plus facile que pardonner...
Cet homme ne peut etre complètement mauvais...
sinon il n'aurai pas aimé cette femme ni ses enfants, pour des raisons x il est allez trop loin, se n'est pas une excuse c'est la vie qui chavire...Vivre en sachant qu'il a tué la maman de ses enfants et cette femme qu'il aimait à sa façon,je pense que c'est très lourd toute une vie...Faire du papier sur ce drame, est plutot moche !Mais il y a beaucoup de friands de ce genre d'articles !
Alors qui condamner ? bien sur c'est moins grave de lire...et plus facile...
Je ne condamne pas ,parce que je ne juge pas parce que je ne comprend pas ...meme si je suis profondément touchée avec mes mauvais souvenirs.J'ai choisi d'aimer . Sais tout, et pourquoi pas vous...La planète se porterai sans doute mieux.

véronik

Nantes, novembre 2004-11-02

Pour un mot, un regard échangé,
Une phrase trop vite prononçé.
Un verre bu, un cachet avalé,
Sans prévenir la colère est montée.

Comme une vague enragée,
Mon cœur s’est déchiré,
Ma machine enrayée,
Mon amour affolé.

Ce jour-là, éperdu,
Devenu fou, rompu.
Broyé et reclu
Dans ma douleur nue.

Tes yeux ont disparu.
Tes chairs se sont fendues.
Ton sang au sol répandu
Ton corps si menu

Ta voix qui m’avait tant ému
A jamais s’est tue
Ta vie qui s’est perdue
J’ai tué de mes poings nus

Parmi vous malgré moi,
Mais près d’elle, je me vois !
J’ai détruit tant ! Pourquoi ?
Je ne suis plus qu’effroi !

Quelles excuses, quels mots ?
Ils seraient tous de trop !
Ma souffrance indécente,
Votre haine dévorante.

Rien ne remplacera,
De leur mère, les bras !
Et cette pensée là ,
Ne me quittera pas.

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