Il flotte dans mon atelier un parfum d'air iodé ( j'ai pas dit un parfum de "marée"...), je me vois déjà sur l'ile de Ré...Mes personnages sont sur l'eau ou sur la plage, en maillot, en marinière....
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alors...
n°1: "Quand la mer se retire.... il ne me reste riiiiiiiiiiieeeeeeennnnnnnn, sans espoir sans amouuuuuuuuuuuurrrr" C. Jérome
n°2:"La mer, qu'on voit danser le long des golfes clairs, a des reflets d'argent, la mer, Des reflets changeants..." C. Trenet bien sûr!
n°3 (plus récent!) "Face à la mer, j'aurais du grandir, face contre terre, j'aurais pu mourrir", Calogero et PAssi
n°4:"Belle ile en mer, Marie galante, saint vincent, loin singapour, c'est ou c'est lent et patati patata... " Voulzy
n°5: " On allait au bord de la mer.... Avec mon pere ma soeur ma mere.... On regardait les autres gens..." Michel Jonasz
n°6: "...c'est l'amour à la plage, aoup tchatchatcha et les yeux dans les yeux..., aoup, aoup baisers et coquillage aoup...tchatchatcha", Niagara je crois....
et la derniere... et pas des moindres
" Il y avait sur une plage, une fille qui pleurait, je voyais sur son visage de grosses larmes qui coulaient.... LAISSONS LA PLAGE AUX ROMANTIIIIIIIIIIIIIIQUES...." Danel (sais pas le prenom....)
Voila merci de votre attention... des questions
Rédigé par : seb L | 12 juin 2008 à 21:19
désolé delphine, je ne recommencerai plus... ;-)
Rédigé par : seb L | 12 juin 2008 à 21:21
Petite suggestion de chanson :
"Sur la plage abandonnée
Coquillage et crustacés
Qui l'eût cru déplorent la perte de l'été
Qui depuis s'en est allé
On a rangé les vacances
Dans des valises en carton
Et c'est triste quand on pense à la saison
Du soleil et des chansons..."Brigitte Bardot-La Madrague. Moi j'aime bien cet air d'antant...
Tu as aussi "La pêche aux Moules", mais ça ne fait pas le même effet...
ou alors :
"Sous le soleil exactement
Pas à côté, pas n'importe où
Sous le soleil, sous le soleil
Exactement juste en dessous."... Pas mal non plus, un peu torride peut être pour l'univers de Mademoiselle Perle...
Bonne soirée
Rédigé par : Patricia | 12 juin 2008 à 21:23
Pour Seb : C'est Pascal, Pascal Danel...
A retenir... ou pas d'ailleurs !
Bonne soirée
Rédigé par : Patricia | 12 juin 2008 à 21:38
exact, c'est lui qui chantait aussi les neiges du kilimandjaro...ahhh ca fait chaud au coeur.... Bon c'est pour moi, je vous l'emballe, vous m'en direz des nouvelles, ma petite dame....
"Il n'ira
pas beaucoup plus loin,
la nuit viendra bientot,
il voit la bas, dans le lointain
les neiges du Kilimandjaro,
elles te feront un blanc manteau où tu pourras dormiiiiiiiiiiiiiiiiiirrrrr
Rédigé par : seb L | 12 juin 2008 à 22:00
Waow!!! quelle culture variéto-rétro, Seb et Patricia!!!
Vous avez été élevés aux émissions de Maritie et Gibert Carpentier ou quoi???
Bon, moi j'en ai une autre qui me vient: "Dans le port d'Amsterdam"J. Brel et aussi "Rame" de Souchon....
Et puis aussi "Elle préfère l'amour en mer" Ph. Lavil...moi aussi j'ai regardél a télé dans les années 80..!!!
Rédigé par : delphine cossais | 12 juin 2008 à 22:07
Eh! y'a aussi "Dès que le vent soufflera" de Renaud...!!!
Bon, merci à vous deux, si je suis en panne d'inspiration-chanson, je sais où m'adresser maintenant...
Rédigé par : delphine cossais | 12 juin 2008 à 22:09
Et Christophe alors?:
"J'avais dessiné sur le sable
Son doux visage qui me souriait
Puis il a plu sur cette plage
Dans cet orage, elle a disparu
Et j'ai crié, criééééé, Aline, pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuréééééé, oh! j'avais trop de peine
Je me suis assis près de son âme
Mais la belle dame s'était enfuie
Je l'ai cherchée sans plus y croire
Et sans un espoir, pour me guider
Je n'ai gardé que ce doux visage
Comme une épave sur le sable mouillé"
Rédigé par : claire | 12 juin 2008 à 22:23
Ouais! bravo Claire....belles références...
Rédigé par : delphine cossais | 12 juin 2008 à 23:46
ben désolé, mais les deux plus belles sont ci dessous (en plus elles remontent le moral :-)...).
Nous étions deux amis et Fanette m'aimait
La plage était déserte et dormait sous juillet
Si elles s'en souviennent les vagues vous diront
Combien pour la Fanette j'ai chanté de chansons
Faut dire
Faut dire qu'elle était belle
Comme une perle d'eau
Faut dire qu'elle était belle
Et je ne suis pas beau
Faut dire
Faut dire qu'elle était brune
Tant la dune était blonde
Et tenant l'autre et l'une
Moi je tenais le monde
Faut dire
Faut dire que j'étais fou
De croire à tout cela
Je le croyais à nous
Je la croyais à moi
Faut dire
Qu'on ne nous apprend pas
A se méfier de tout
Nous étions deux amis et Fanette m'aimait
La plage était déserte et mentait sous juillet
Si elles s'en souviennent les vagues vous diront
Comment pour la Fanette s'arrêta la chanson
Faut dire
Faut dire qu'en sortant
D'une vague mourante
Je les vis s'en allant
Comme amant et amante
Faut dire
Faut dire qu'ils ont ri
Quand ils m'ont vu pleurer
Faut dire qu'ils ont chanté
Quand je les ai maudits
Faut dire
Que c'est bien ce jour-là
Qu'ils ont nagé si loin
Qu'ils ont nagé si bien
Qu'on ne les revit pas
Faut dire
Qu'on ne nous apprend pas
Mais parlons d'autre chose
Nous étions deux amis et Fanette l'aimait
La place est déserte et pleure sous juillet
Et le soir quelquefois
Quand les vagues s'arrêtent
J'entends comme une voix
J'entends... c'est la Fanette
Ils parlent de la mort
Comme tu parles d'un fruit
Ils regardent la mer
Comme tu regardes un puit
Les femmes sont lascives
Au soleil redouté
Et s'il n'y a pas d'hiver
Cela n'est pas l'été
La pluie est traversière
Elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs
Qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise
Le temps s'immobilise
Aux Marquises
Du soir montent des feux
Et des pointes de silence
Qui vont s'élargissant
Et la lune s'avance
Et la mer se déchire
Infiniment brisée
Par des rochers qui prirent
Des prénoms affolés
Et puis plus loin des chiens
Des chants de repentance
Des quelques pas de deux
Et quelques pas de danse
Et la nuit est soumise
Et l'alizé se brise
Aux Marquises
Le rire est dans le cœur
Le mot dans le regard
Le cœur est voyageur
L'avenir est au hasard
Et passent des cocotiers
Qui écrivent des chants d'amour
Que les sœurs d'alentour
Ignorent d'ignorer
Les pirogues s'en vont
Les pirogues s'en viennent
Et mes souvenirs deviennent
Ce que les vieux en font
Veux tu que je dise
Gémir n'est pas de mise
Aux Marquises
Rédigé par : vincent | 13 juin 2008 à 12:17
Ma-gni-fi-que, ce texte...est ce bien Jacques Brel??..
Par contre, je ne suis pas persuadée que cela remonte le moral...non, ça me met plutôt dans une ambiance dramatique!!! dramatique mais magnifique.
Merci Vincent!
Rédigé par : delphine cossais | 13 juin 2008 à 14:04
Il y a plus léger...
Sur la plage abandonnéééée
Coquillage et crustacééééés
Qui l'eût cru déplorent la perte de l'été
Qui depuis s'en est allééé
On a rangé les vacanceuuuus
Dans des valises en carton
Et c'est triste quand on pense à la saison
Du soleil et des chansooooons
Pourtant je sais bien l'année prochaiaineeee
Tout refleurira nous reviendroooons
Mais en attendant je suis en peieine
De quitter la mer et ma maison ...
Rédigé par : claire | 13 juin 2008 à 21:44
Oups, Patricia l'avait déjà donnée celle-là...
Rédigé par : claire | 13 juin 2008 à 21:45
Je me rattrape avec Aznavour:
A l'époque où la mer à boire
Était à boire sans payer
J'ai tout essayé pour le croire
Et j'ai tout bu sans essayer
A l'âge des pommes pas mûres
On est prêt à n'importe quoi
Mais c'est un âge qui ne dure
Pas plus que le rêve ou la foi
La mer à boire est un exploit
Qui n'a jamais grande importance
Beaucoup l'ont bue bien avant moi
Et bien plus vite qu'on ne pense
Moi même je l'ai bue souvent
Sans soif aucune je vous jure
Mais pour remonter le courant
Ou faire ma bouche plus pure
...
Rédigé par : claire | 13 juin 2008 à 21:50
Claire, je ne connaissais pas cette chanson d'Aznavour...Que c'est beau!J'adore!! J'ai bu la mer, sans soif aucune..hum, j'aurais bien envie d' inclure des petits extraits de ce texte dans des recoins de mes tableaux....
A propos des "pochettes surprises", je ne vous oublie pas!!..j'arrive au bout de mes 9 enveloppes, elles seront prêtes à poster en début de semaine...patience, patience....
Rédigé par : delphine cossais | 13 juin 2008 à 22:52
Les filles du bord de mer (Arno)
Je me souviens du bord de mer avec ses filles au ton si clair
Elles avaient l'âme hospitalière c'était pas fait pour me déplaire
Naïves autant qu'elles étaient belles on pouvait lire dans leurs prunelles
Qu'elles voulaient pratiquer le sport pour garder une belle ligne de corps
Et encore, et encore, z'auraient pu danser la java
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer
Choin, choin, choin
Z'étaient faites pour qui savait y faire
Choin, choin, choin
Y'en avait une qui s'appelle Eve c'était vraiment la fille de mes rêves
Elle avait qu'un seul défaut elle se baignait plus qu'il ne faut
Plutôt qu'd'aller chez les masseurs elle invitait les premiers baigneurs
A tâter du côté de son cœur, en douceur, en douceur
En douceur et profondeur
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer
Choin, choin, choin
Z'étaient faites pour qui savait y faire
Choin, choin, choin
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer
Choin, choin, choin
Z'étaient faites pour qui savait y faire
Choin, choin, choin
Lui pardonnant cette manie j'lui propose de partager ma vie
Mais dès que revint l'été je commençais à m'inquiéter
Car sur les bords d'la mer du Nord elle se remit à faire du sport
Je tolérais ce violon d'Ingres sinon elle devenait malingre
Puis un beau jour j'en ai eu marre c'était pis que la mer à boire
J'l’ai refilé à un gigolo et j'ai nagé vers d'autres eaux
En douceur, en douceur
Ho ! Ouais ! Ho ! Hé !
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer
Choin, choin, choin
Z'étaient faites pour qui savait y faire
Choin, choin, choin
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer
Choin, choin, choin
Z'étaient faites pour qui savait y faire
Hé ! Hoo ! Héé !
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer
Choin, choin, choin
Z'étaient faites pour qui savait y faire
Choin, choin, choin
La la la la la la la la la .............
Rédigé par : Sylvia | 16 juin 2008 à 21:19